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Lettre de Nouvelles Juin 2020

Jun 01, 2020 • By Sandy Shoshani

Chers partenaires qui œuvrez avec nous dans le « sauvetage » des vies,

Nous sommes heureux d’avoir été témoins de la naissance de 365 bébés, soit littéralement un bébé par jour, au sein de notre famille Be’ad Chaim. Merci de nous avoir aidé à sauver ces vies ! Même si c’est déjà merveilleux de voir toutes ces nouvelles vies, nous en voulons PLUS. Nous souhaitons stopper l’effusion de sang innocent dans notre pays. « La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi. » (Genèse 4.10).

Chaque enfant dont le sang est versé est notre frère, notre sœur. Alors que Caïn avait tué Abel, il a demandé : « Suis-je le gardien de mon frère ? » La réponse devrait être un grand « OUI ». Oui, nous sommes les gardiens de nos frères et sœurs et sommes appelés à les protéger. L’automne dernier, j’ai me suis vraiment posée devant Dieu pour demander une percée, afin que nous puissions atteindre plus efficacement la population. Depuis, un super groupe de jeunes adultes a décidé de relever le défi de créer une nouvelle plateforme sociale appelée « Zechutam » (« leur droit »), dans le but de changer l’opinion publique.

Nous avons aussi reçu une subvention Google, nous permettant d’accroître considérablement notre présence sur les réseaux sociaux et de promouvoir cette campagne (Zechutam), ainsi qu’une autre campagne pour toucher les mères en crise et les personnes vivant un deuil après la perte d’un enfant. Nous sommes profondément reconnaissants pour ces percées, et avons hâte de voir encore plus de bébés sauvés de l’avortement, des mères avec des vies transformées et un changement du statut quo concernant l’avortement dans notre pays. Encore un grand merci pour vos prières et votre soutien.

Sandy

Sarah et bébé Michael

Sarah a eu plusieurs fois recours à la FIV (Fécondation In Vitro et traitements pour la fertilité), mais cela s’est toujours soldé par des fausses-couches, la laissant déçue et désespérée. On a alors découvert que son mari avait des problèmes d’infertilité, ce qui les a tous deux dévastés. Cela a engendré une détérioration de leur relation et ils ont fini par divorcer. Agée de 37 ans, Sarah est tombée enceinte à la suite d’une relation avec un petit-ami qui ne voulait pas reconnaître que le bébé venait de lui. Bien que voulant garder le bébé, elle se trouvait seule, sans soutien, gagnant moins que le salaire minimum, et à peine capable de payer ses factures. Elle a même déménagé dans un appartement plus petit. Sur Internet, elle a trouvé Be’ad Chaim. Elle a aussi trouvé en Helen, sa conseillère, une amie. Le beau petit Michael est né comme prévu. Malgré sa situation difficile, pour Sarah, Michael est « son petit prince ».

Tali et bébé Jonathan

Chère Larissa, Tes mots m’ont donné des frissons. La poupée que tu m’as montrée et tes mots « ce bébé est ta famille » restent dans mon cœur. Ces mots m’ont donné de l’espoir au milieu de la crise émotionnelle que je traverse, de mes peurs et de ma crainte de ne pas y arriver en tant que mère célibataire. C’est alors que je me suis dis à moi-même : « Il est ma famille. » Un grand Merci pour tes encouragements et ton travail. Tu as remporté la victoire ! Aujourd’hui, si j’entends parler de quelqu’un souhaitant avorter, je ferais tout pour l’arrêter et l’aider à choisir la vie. Avec Jonathan, nous attendons le moment où nous pourrons te faire un gros câlin. Ton association m’a montré tant de bonté. Tu ne sais pas à quel point tu m’as aidée. Tu as sauvé ma vie. J’aimerais tant parler avec ta directrice. Larisa, tu m’as accompagnée, m’appelant au 8ème mois pour vérifier que j’étais toujours enceinte et prendre de mes nouvelles. Tu m’as aidée sans que je me sente embarrassée. Je ne pourrais jamais assez te remercier. Jonathan et moi t’aimons.

Lors d’un échange téléphonique ultérieur, Tali a partagé : « Tu ne sais pas tout ce que tu as fait pour moi. Je t’ai vue parler sur YouTube et j’ai appelé ton bureau. J’étais passée par beaucoup de violence avec mon petit-ami, mais maintenant j’ai coupé les ponts avec lui et aujourd’hui j’élève Jonathan seule. Jonathan donne un sens à ma vie. Il m’a donné une raison de me lever le matin. Je ne peux pas croire tout ce que tu as fait pour moi. J’ai encore besoin de thérapie, mais grâce à Dieu, le confinement dû au coronavirus a été bénéfique pour moi. Ma vie n’a pas été facile. C’est la raison pour laquelle je souhaitais avorter. Je ne voulais pas que mon enfant ait une vie difficile. Mais quand je l’embrasse, il est heureux. Il mérité d’être heureux. Il y a encore du chemin pour que je trouve la pleine guérison. Il y a eu la mort dans ma vie : j’ai moi-même voulu me tuer, mais maintenant il y a une nouvelle vie. Parfois j’ai peur et je passe par des moments difficiles, mais mon bébé m’aide à regarder droit devant. »

Tali vit avec ses parents qui aiment Jonathan et prennent soin de lui. Elle veut avancer dans sa vie, trouver un travail et, en temps voulu, déménager. Elle conclut en disant : « Jonathan m’a donné de l’espoir. L’avenir lui appartient. »

Hannah et bébé Omri

Hannah est arrivée dans notre bureau pleine de joie et de fierté de pouvoir nous montrer son fils Omri, tout juste âgé d’un mois. Elle m’a raconté que la naissance avait été une sacrée aventure car la sage-femme avait contracté le coronavirus (sans le savoir au moment de l’accouchement). Les 40 femmes qu’elle avait accompagnées pour leur accouchement avaient donc dû se mettre en quarantaine pendant 14 jours après la naissance.

Omri, son fils, a été conçu dans des circonstances difficiles. Le père de Hannah était décédé 3 ans plus tôt, la laissant dévastée. Elle était considérée comme « une jeune à risques » et n’avait jamais fini le lycée. Entre 17 et 20 ans, elle été déjà passée par 3 avortements. Sa mère (avec qui elle vit actuellement) n’a pas accepté la grossesse de sa fille et a pris ses distances pendant la majorité des 9 mois. C’est seulement proche du terme qu’elle a commencé à se réjouir à l’idée de devenir grand-mère.

Hanna a déclaré que sans l’aide trouvée auprès de Be’ad Chaim grâce à une amie, elle aurait avorté. La possibilité d’avoir accès à des affaires pour bébé grâce à notre Programme Opération Moïse et à notre boutique, l’a fait changer d’avis. Et en tenant aujourd’hui Omri dans ses bras, elle est profondément reconnaissante d’avoir choisi la VIE.

Parrainer une Vie

Devenez parrain et aidez une mère à choisir la VIE, en pourvoyant à toutes les choses essentielles dont elle aura besoin pour la 1ère année de son bébé.

Odelia et bébé Nili

Odélia est une vraie héroïne car elle a courageusement choisi la vie pour son enfant, malgré des circonstances très difficiles et beaucoup de pression pour avorter. La petite Nili est née il y a tout juste un mois. Elle pesait à peine 2,3 kg (environ 5 livres/lb).

Odelia venait tout juste de divorcer lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte de son ex-mari. Ils s’étaient séparés mais ses amies l’avait convaincue de lui donner une autre chance. C’est à ce moment-là qu’elle est tombée enceinte. Quand ex-mari a appris la nouvelle, lui et ses amis n’ont pas cessé de la harceler et de faire pression pour qu’elle avorte. Découragée, elle a souvent appelé l’hôpital avec l’intention de prendre rendez-vous pour avorter. Mais à chaque fois, elle a raccroché à la dernière minute.

Elle s’est souvenue de l’aide, de l’amour et des encouragements qu’elle avait reçus de Be’ad Chaim lors de sa première grossesse. Elle a alors demandé notre aide. Ses parents étaient décédés quelques années auparavant et depuis elle avait la charge de ses 4 jeunes frères et sœurs, en plus de 2 enfants à elle.

Depuis le Coronavirus en mars, elle s’est retrouvée sans travail. L’aide qu’elle reçoit à travers notre Programme Opération Moïse est un vrai soulagement pour elle cette année, alors qu’elle essaie de subvenir aux besoins de sa famille. L’aide inclut un lit bébé, une poussette, une baignoire, ainsi que des coupons d’achat mensuels. Elle est si heureuse de ne pas avoir avorté, et considère la vie de Nili comme un précieux ajout à leur famille.

Développement de notre Programme de Guérison :

Nous nous réjouissons du développement de notre programme de guérison qui aide ceux qui sont passés par la perte d’un enfant. Dans notre lettre de nouvelles de février, nous avons partagé la naissance de Tsarai qui avait souffert d’une maladie congénitale caractérisée par des os fragiles. Nous sommes tristes de vous annoncer qu’il est récemment décédé alors qu’il n’avait que 5 mois. Notre conseillère, Annie, a pris soin de sa maman Hava. Celle-ci a partagé à Annie le fait que sa propre mère l’appelait régulièrement pour la consoler en lui rappelant qu’elle (Hava) avait 8 autres enfants et pouvait concentrer son attention sur eux. Annie a reconnu que cela était vrai, mais a aussi encouragé Hava à se donner le temps et l’espace pour faire le deuil de la perte de Tsarai. Annie lui a proposé de trouver un endroit calme où Hava pouvait être seule et l’appeler quand elle avait besoin de partager sa peine. Hava lui a dit que personne d’autre ne lui avait demandé « Comment va ton cœur ? Comment est-ce que TU vas ? ». Elle s’est sentie soulagée de savoir qu’Annie l’écouterait et lui permettrait de partager sa souffrance.

Dans mon bureau, j’ai une affiche qui dit : « Un chagrin partagé diminue de moitié. Une joie partagée augmente du double. » C’est notre but de voir la croissance de ce programme permettant la guérison après la perte d’un bébé, qu’il soit dû à une fausse-couche, un avortement, une mort à la naissance ou après la naissance. Merci pour vos prières pour que ce travail vital se développe, afin que beaucoup puissent trouver la liberté.

En plus d’un accompagnement, nous offrons aux personnes l’opportunité de planter un arbre en mémoire du bébé qui est parti. Tous sont invités à planter un arbre aux Jardins de la Vie, notre jardin-mémorial, pour honorer les enfants qui ne peuvent pas être tenus dans les bras. Merci de contacter notre bureau pour prendre rendez-vous et commander votre arbre.

Find Healing

Plant a tree and find healing after the loss of a baby through miscarriage, abortion or SIDS - and find comfort, closure, and restoration.

Provide Clothing

Provide women with clothing and certain baby items for a full year. Help lessen the financial pressure of buying it all on their own.