Chers amis,

Dans notre effort pour parler au nom des enfants à naître qui ne peuvent pas parler pour eux-mêmes, nous continuons à utiliser les médias pour favoriser un dialogue public sur la valeur de leur vie. Pendant la Fête des Tabernacles (Sukot), nous avons installé pendant 10 jours un panneau d'affichage géant sur l'autoroute entre Tel Aviv et Jérusalem. Des millions de personnes ont vu le panneau et des milliers ont réagi de manière positive ou négative, y compris les médias. Nous avons passé un contrat pour un autre panneau d'affichage à la mi-novembre. Vous pouvez voir ici le panneau d'affichage qui dit : "Ce n'est pas seulement un fœtus. C'est Nofar." (Un prénom de fille. Les deux phrases riment en hébreu). Nous poursuivons également notre publicité sur les côtés et à l'arrière de centaines de bus et continuons à augmenter notre présence sur Google et Facebook. Nous sommes en train de créer des clips pro-vie pour YouTube. 106 000 tracts ont été placés dans les boîtes aux lettres de la ville de Haïfa. Nous avons envoyé une requête au ministre de la Santé pour nous permettre de demander à la Cour suprême d'arrêter l'avortement à 24 semaines, le point de viabilité. Pour l'amour de Dieu, pour l'amour d'Israël et pour le bien des bébés, nous ne resterons pas silencieux.

"Pour l'amour de Sion, je ne me tairai pas,

pour l'amour de Jérusalem, je ne prendrai pas de repos,

jusqu'à ce que sa justice brille comme l'aube,

son salut comme une torche ardente."

(Ésaïe 62:1).

Merci de vous tenir à nos côtés pour défendre les enfants à naître.

Sandy

Remerciements de la part d'une nouvelle maman :

"Je m'appelle Avigail. J'ai 18 ans et je suis la mère d'un formidable enfant de 13 mois nommé Daniel. Les deux dernières années ont été très difficiles pour moi. J'ai découvert que j'étais enceinte alors que j'étais en première. J'ai eu beaucoup de pensées et de doutes. Aujourd'hui, je suis tellement heureuse d'avoir choisi la VIE ! Mon fils a apporté tellement de bonheur et de sens à ma vie. Je vous suis profondément reconnaissante pour votre aide et votre soutien durant ce voyage. Cela a beaucoup compté pour moi et Daniel.

Encore et encore, MERCI !"

Des tracts dans les boîtes aux lettres de Haïfa :

Voici une réponse à notre campagne de tracts à Haïfa :

"Je ne suis pas une femme « pro-vie » ou une politicienne, mais je sais ce que cela signifie d'avoir une grossesse non planifiée sans aucun soutien. Si une femme choisit d'être courageuse et d'avoir son enfant, elle devrait recevoir tout le soutien dont elle a besoin. Oui, j'ai entendu dire que j'allais gâcher ma vie, que je serais une mauvaise mère et que j'étais égoïste de donner naissance à mon bébé et de l'élever. C'était une période confuse, mais je voulais avoir mon bébé. Et je l'ai eu. D'une manière ou d'une autre, tout s'est arrangé. J'ai "choisi" de ne pas interrompre ma grossesse, même si on me poussait à le faire. ❤️ Il a maintenant 33 ans et il est la plus grande bénédiction de ma vie. Mon fils est titulaire d'une maîtrise et a terminé ses études de droit. Je ne regrette rien. C'était aussi l'une des entreprises les plus difficiles de ma vie car personne ne m'a aidé. J'ai dû quémander des couches, du lait maternisé et des vêtements. Souvent, je ne mangeais pas, mais mon fils le faisait toujours. Je vous écris parce que j'ai trouvé votre prospectus dans ma boîte aux lettres. Je n'ai pas beaucoup d'argent, mais si vous avez une femme enceinte qui n'a pas de quoi manger ni d'endroit où aller et qui veut avoir son bébé, je peux et je veux l'aider."

Une famille d'accueil merveilleuse :

Helen, notre conseillère à Netanya, était très préoccupée par la petite Lea, dont la mère était incapable de s'occuper correctement d'elle. Elle a partagé ce message touchant :

"Je dois juste partager ceci avec vous. Il s’agit du bébé qui est dans une merveilleuse famille d'accueil qui l'aime tellement. La voir si heureuse me confirme que c'était exactement la bonne décision à prendre. Sa mère a le droit à une visite hebdomadaire et elle est d'accord avec cela. Bébé Léa a été sauvée de tant de traumatismes. Dieu merci".

Appel téléphonique d'Hallelujah, une jeune femme suivie par Roberta :

Nous l'avons aidée en 2011 puis en 2016, et elle ne peut pas oublier notre aide.

"Si ce n'était pas pour Roberta, j'aurais avorté. Si elle n'avait pas été là, je ne serais pas en vie aujourd'hui. J'étais autodestructrice, endettée et je ne broyais que du noir. Si j'avais avorté, je me serais suicidée. Cet enfant m'a donné une nouvelle vie. Be'ad Chaim n'a pas seulement sauvé mon bébé, ils m'ont aussi sauvée moi. Aujourd'hui, je suis une personne heureuse. J'ai remboursé toutes mes dettes. J'achète à mes enfants ce dont ils ont besoin. Quand ils seront plus grands et que j'aurai une bonne situation financière, je redonnerai à Be'ad Chaim.

Je travaille chez Osem (un producteur alimentaire). Ils sont si gentils avec moi et me donnent des horaires faciles et flexibles. J'y travaille depuis 4 ans et ils sont comme une famille pour moi. Il y a 6 mois, j'ai ouvert une entreprise de restauration, où je prépare des plats éthiopiens. J'ai étudié la cuisine il y a 6 ans parce que je savais que je ne pouvais pas rester dans un état de pauvreté, en gagnant seulement le salaire minimum toute ma vie. Je voulais travailler dans un domaine que j'aimais. J'ai demandé à ma mère de travailler avec moi. Demain, je serai le traiteur d'un mariage pour 600 personnes. J'ai ouvert une cuisine dans mon débarras. Parfois, les gens me demandent comment j'ai réussi à vivre en étant célibataire et enceinte. Roberta m'a pris chez elle pour vivre avec elle. J'avais un dérèglement hormonal et je buvais. Roberta m'a supportée. Une de mes amies m'a dit d'avorter et a même proposé de payer pour ça. Roberta m'a suppliée de garder Adam. Il a 10 ans maintenant et je suis si heureuse. Quiconque voit mes enfants ne peut que dire "Wow !". Ces garçons sont en vie grâce à Be'ad Chaim. Ils ont le même esprit que Roberta et vous à Be'ad Chaim - un esprit de paix, de respect des autres et un désir d'aider. J'ai été ressuscitée des morts grâce à Be'ad Chaim".

Nur et son petit garçon Hamza

Nur est une jeune femme intelligente et sensible. Elle a 27 ans et a déjà divorcé deux fois. Elle est issue d'une communauté arabo-musulmane. L'un de ses enfants a des besoins particuliers et demande beaucoup d'attention. Ses deux autres merveilleuses filles l'aident dans les tâches ménagères. Lorsque Nur a appris qu'elle était enceinte, elle a envisagé l'avortement. Sa situation est très mal vue dans la communauté arabe et elle craignait d'être rejetée, mais sa propre famille a été très patiente et l'a heureusement acceptée.

Voici la lettre qu'elle a écrite à sa conseillère Roberta, au personnel de Be'ad Chaim et à ses généreux donateurs :

"Dans la vie, nous passons tous par des moments difficiles de faiblesse, d'impuissance, de peur et d'inquiétude quant à l'avenir. Je me posais beaucoup de questions ! Pourquoi moi, Dieu ? Pourquoi moi maintenant, à ce moment difficile ? J'avais très peur et je ne savais pas quoi faire avec cette chose qui grandissait dans mon ventre sans que personne ne le sache ! J'ai beaucoup réfléchi, et il y avait une guerre terrible entre un cœur aimant de mère et un esprit qui pense à la dure réalité, à la relation endommagée, aux enfants qui souffrent, et à toutes les dépenses et les dettes avec la banque ! En larmes, j'ai pris une décision. Je suis allée sur Instagram pour passer le temps, puis j'ai vu le post "Vous n'êtes pas seule !". C'est alors que je me suis tournée vers l'organisation Be'ad Chaim et ma conseillère Roberta m'a aidée à traverser ma grossesse, alors que j'avais pensé en les contactant qu'ils m'aideraient à avorter !

Roberta est tombée amoureuse de mon futur bébé et s'est battue pour lui comme s'il était le sien, sans même le voir. Il était si petit dans mon ventre, et Roberta n'a jamais fait référence à son sexe, sa race, sa religion, sa couleur, son origine ou quoi que ce soit de ce genre, mais seulement au fait qu’il était humain. Roberta m’a soutenue, écoutée et beaucoup aidée, tant émotionnellement que financièrement. Avec beaucoup de bonne volonté de sa part, j'ai pu me ressaisir et être une bonne mère pour mon bébé. J'ai pu le garder et le faire grandir dans mon ventre pendant des mois et des mois, et lorsque j'étais lourde et faible, j'ai appelé Roberta pour le lui dire. Elle n'a jamais hésité à être honnête et m'a aussi donné un coup de pouce ! J'ai senti que quelqu'unse souciait de moi et de mon bébé,que d'autres personnes que moi l'attendaient ici dans le monde et qu'elles l'aimaient aussi. J'ai été surprise quand ils ont aidé mon bébé avec un beau paquet de naissance comprenant un lit, un matelas, une baignoire et une belle poussette rouge. J'étais très heureuse, du plus profond de mon cœur.❤ Merci, Be'ad Chaim. Grâce à vous, j'ai Hamza dans mes bras plein d'amour. Merci, et merci chère Roberta, toi qui m'as facilité la poursuite de la grossesse avec confiance, joie et paix. Merci aux donateurs qui m'ont aidée de tout cœur. Que Dieu vous donne à tous la santé et beaucoup d'amour et de bonheur du ciel. Le bébé Hamza et moi-même vous remercions. Il grandit bien et se nourrit bien. Il sourit et est heureux et nous attendons avec impatience les bons et heureux jours à venir. 🙏״

Merci de votre sollicitude !

Behati est une réfugiée d'Éthiopie qui nous a été adressée par un travailleur social en raison de ses nombreux besoins. La belle Eden est son troisième enfant. Profondément reconnaissante que quelqu'un se soucie vraiment d'elle, elle a envoyé un message vocal à notre conseillère d'Eilat :

"Merci beaucoup, Stella. Tu nous as tellement aidés et je te remercie de tout mon cœur. Tu es une femme si gentille et tu as une oreille attentive. Je veux rester en contact avec toi même si l'année de réception des cartes cadeaux est terminée. Je t'aime."

Bébé Faniel a besoin de prière

Zenebe est une réfugiée érythréenne, mère de 2 enfants. Elle vit avec sa famille dans un petit appartement à Jérusalem. Son mari travaille dans un supermarché local, et elle reste à la maison avec les enfants. Son mari gagne un maigre salaire, dont plus de la moitié sert à payer le loyer. Lorsque Zenebe a appris qu'elle était à nouveau enceinte, elle a été choquée - encore plus lorsqu'on lui a dit qu'elle attendait des jumeaux. Elle était désespérée et a cherché de l'aide. Les encouragements de notre conseillère et la promesse d'articles pour bébés grâce à notre projet Opération Moïse lui ont donné la confiance nécessaire pour poursuivre sa grossesse. En août, à 32 semaines de grossesse, elle a été emmenée d'urgence à l'hôpital et a donné naissance à des jumeaux. Malheureusement, l'un des garçons n'a pas survécu. Ils ont appelé le bébé qui a survécu Faniel. Il était très petit et a dû recevoir un traitement spécial pour ses poumons. Heureusement, il a maintenant pris du poids et peut respirer tout seul. Zenebe elle-même se porte bien, mais elle est très concentrée sur Faniel et sur son rétablissement. Il est toujours à l'hôpital et elle ne sait pas exactement quand elle pourra le ramener à la maison. En raison de la barrière de la langue, il lui est difficile de comprendre ce que disent les médecins. Zenebe est très triste d'avoir perdu l'un de ses bébés, mais elle est très reconnaissante pour le petit Faniel, qui se renforce de jour en jour. Merci d’avance de vos prières pour que Zenebe soit réconfortée et forte, et pour que son nouveau fils Faniel se développe bien, avec des poumons sains. Que la bénédiction du Seigneur soit sur eux.

Le conseil pour les pertes de grossesse

Nos services de conseil, qui comprennent l'aide aux femmes ayant vécu un deuil périnatal, ont commencé à utiliser l'art-thérapie comme technique pour leur permettre de trouver la guérison. Cette image touchante a été créée à partir des morceaux d'une lettre écrite par une mère en deuil. Notre conseillère a encouragé la mère à écrire ses sentiments face à la mort à la naissance. Sur fond de musique douce, elle a découpé la lettre en morceaux et les a collés délicatement sur son dessin d'oiseau. L'oiseau emporte symboliquement la douleur et la tristesse. La mère était très encouragée, tout comme la conseillère, de voir comment l'art-thérapie peut apporter un soulagement. La femme a confié que l'art l'a aidée à traiter son expérience de perte et à se libérer d'une partie de la colère et des questions restées sans réponse. Elle a pu se libérer lentement de ses pensées négatives et réaliser que même lorsque les choses semblent si sombres, il y a de la vie et de la lumière au bout du tunnel. Nous remercions Dieu d'être en mesure d'offrir la guérison à ceux qui souffrent.